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22 novembre 2015 7 22 /11 /novembre /2015 19:01
SIMPLEMINDS - ZENITH DE PARIS 20-11-2015

Une semaine après les actes immondes commis à Paris par de sales connards, SIMPLE MINDS étaient au ZENITH et pas moi.... Pour de multiples raisons, budgétaires, d'agenda, du fait qu'ayant eu le plaisir de les voir dans des salles de taille humaine en face to feet (tout premiers rangs) le Zenith me semblait trop gros et je n'avais pas prévu d'y aller. Des raisons birn dérisoires...

A la lumière, ou plutôt aux ténèbres de ces horribles évènements, si pour ma part j'aurais passé le cap de m'y rendre sereinement (avec quand même une petite appréhension) cela n'aurai pas été le cas de mes proches que je n'aurai pas voulu inquiéter plus que de raison. Travaillant sur la commune de Saint-Denis, l'assaut du Raid contre les sales connards, a été comme qui dirait la goutte qui fait déborder le vase de la tension.

Quoi qu'il en soit, si je n'y était pas physiquement j'y étais avec le cœur et l'esprit et je dis merci au SIMPLE MINDS d'avoir honoré notre capitale pour la x-ème fois.

Voici pour commencer une vidéo de quelqu'un qui à réussit a se placer face to feet malgré la taille de la salle et nous offre l'intro du concert filmé. Ca commence avec THEMES FROM GREAT CITIES puis on enchaine sur un émouvant moment de recueillement et puis la pêche et l'énergie  de WATERFRONT.

 

 

 

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 09:03

JIM KERR et les SIMPLE MINDS sont vraiment increvables. Avec une carrière commencée en 1979, et pratiquement jamais interrompue, même si le très gros succès commercial connu au milieu des années 80 n’a plus toujours été au rendez-vous ils n’ont cessé de tourner et sortir des albums. Voici donc annoncée une nouvelle tournée en  2015 pour accompagner la sortie en novembre de leur 18eme album studio  BIG MUSIC. Apres BLINDFOLDED voici un autre single en extrait HONEST TOWN ( du coup je remets les deux ). Pour le moment il n’y a que trois dates en France en février, mais je suis sur  que d’autres viendront

Découvrez ici leur discographie pour laquelle j’avais commencé à faire un article par album  et que je me dois de poursuivre.

 

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4 septembre 2014 4 04 /09 /septembre /2014 23:38

Dernière minute : tout le monde est trop occupé à parler d'une info qui n'en est pas une, à propos d'un livre qui n'en est pas un et pendant ce temps le nouveau single de SIMPLE MINDS, BLINFOLDED pourrait passer inaperçu, mais la garde de nuit veille.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 00:28

 

simple-minds-zenith.jpg

Infatigables ! Les SIMPLE MINDS sont de retour en live pour une tournée GREATEST HITS qui accompagne la sortie d'un ultimate greatest hits version gros volume : 50 titres qui s'étirent sur une carrière de 36 ans et 13 albums. Deux inédits figureront sur cet album BROKEN GLASS PARK et BLOOD DIAMONDS. Je vous présente ici le clip du premier. Bon, moi j'aurai bien aimé tout un album d'inédits mais je suis sur que ça viendra.

Parlant de tournée, les SIMPLE MINDS ne ratent jamais la France (même pour la fête de l'huma ou des festivals ), je las ai vu ces dernières années au Casino de Paris (2012) et au Bataclan (2010) (c'était le premier article de mon blog) des petites salles comparées aux Bercy ou je les avais vus dans les années 80, mais un immense plaisir d'avoir une proximité incomparable avec les artistes.

Le 24 novembre 2013 ils seront au ZENITH !!!! c'est super cool pour eux si ils arrivent a remplir cette salle, paradoxalement moi j'aurai préféré une plus petite salle, quel égoïste je suis avec l'un de mes groupes favoris.

Bien tout cela va me faire remettre le pied à l'étrier, j'avais avant le concert 2012 commencé à chroniquer chacun des albums de SIMPLE MINDS et arrivé à NEW GOLD DREAMS j'ai calé, sans doute intimidé par l'un de mes albums favoris de tous les temps. Mais promis je profite de cette occasion pour m'y remettre. En attendant je vous invite dan mon espace SIMPLE MINDS au sein de ce blog.


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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 01:22

don't you cover

 

J'avais commencé il y à quelques temps avant leur concert à Paris une rétrospective des albums de Simple minds, puis avant d'aborder mon album favori, New gold dreams, je suis passé sur plein d'autres choses. Le visionnage du film Breakfast club est l'occasion de reprendre un peu cette rétrospective avec un petit saut dans le temps. En effet, le titre qui les a propulsés au sommet de la gloire internationale et ouvert les portes des States sert de bande originale a ce teenage-movie qui date de 1985. Je vais parler brièvement et du film, et de la chanson.

 


 

Ce titre des Simple minds est l'un de rares à ne pas avoir été composé par les Minds mais par un certain Keith Forsey, cependant c'est leur morceau à ce jour le plus connu, qui leur permis d'être N°1 aux Etats-unis. C'est encore sans doute à ce jour la chanson la plus populaire des Minds et chaque fois on y a droit. J'ai cru comprndre que le groupe avait considéré cette chanson comme « alimentaire », paradoxalement alors qu'ils s'essayaient avec leur précédents albums à toutes sortes d'innovations musicales c'est ce morceau ultra calibré pop-rock américain qui les rendra mondialement célèbres. Pour ce qui me concerne bien que j'apprécie ce morceau, j'en suis un peu gavé à force de l'avoir entendu sur les ondes, et fondamentalement je ne le mettrai pas dans le top 5 de mes chansons favorites des minds.

 the breakfast club custom original

Venons en au film, Breakfast club est un teen movie ( film pour ados) ou pour les adulescents de nos jours un peu nostalgique suivez mon regard.... Ce film fut réalisé par John Hugues en 1985. Le film est un huis-clos qui réuni 6 jeunes en retenue au lycée un samedi. Bien évidement on à droit a 6 clichés d'ados américains (occidentaux)

  • la fille à papa ( Molly Ringwald que l'on retrouvera dans pretty in pink)

  • le sportif (Million Eesteves)

  • Le rebelle

  • la fille renfermée limite dépressive

  • l'intello,, 1° de la classe

Bien que caricatural et léger le film et arrivé à me toucher à l'époque lorsque j'étais ados et encore aujourd'hui j'ai bien aimé le revoir, alors que je suis parent de pré-ados. Le sujet du film est une sorte de thérapie de groupe ou ces ados pourtant bien différents se rendent compte qu'ils sont tous névrosés du fait de leurs parents, du monde des adultes en général, et des conventions sociales impitoyables qui régissent les relations entre ados. Bref ce n'est pas du Woody Allen, mais un divertissement léger, sympa, pas trop bourrin (ce n'est pas american pie...)mais à la fois très agréable à regarder et touchant.

C'est navrant mais je n'ai pas trouvé de bande annonce en français :-(

L'ultimate test pour un vieux film est de le projeter devant un public d'ados d'aujourd'hui qui repèrent des les 5 premières minutes le «vieux» film des années 80, et qui en règle générale désertent vite fait le salon en disant « il est pourri ce film ! ». Test réussit haut la main avec deux 8/10 au movies speed kritiks, exceptionnel ! preuve que le thème reste universel et que le film n'a pas trop vieilli malgrè ses 27 ans.

Family Movies Speed Kritiks : Moi 7,5/10 + Madame 8/10 + Mamzelle A 8/10 + Mamzelle L 8/10 = moyenne 7,8/10 (imdb 7,9/10)

The-Breakfast-Club-wallpaper-the-breakfast-club-

 

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 00:36

 

live 5x5

 SUPER MOMENT, lundi au casino de Paris pour voir et entendre un de mes groupes préféré en concert : Simple Minds.  Jim and Co ont mis le feu au Casino après toutes ces années, + de 30 ans,  ils me font toujours vibrer, et en plus avec uniquement des chansons issues de leurs 5(6) premiers albums dont New gold dreams mon favori, et celui par lequel je les ai découvert il y à déjà bien longtemps (1982). Leurs titres même les plus anciens sonnent résolument actuels et n'ont pas pris une ride. Certains critiquent le soi-disant retour des groupes estampillés à tort 80's, et le business de la nostalgie, tout d'abord Simple minds depuis leurs origines ont sorti des albums et fait des tournées dans toutes les décennies de la fin des 70’s à nos jours. Par ailleurs est ce que sous prétexte que cela date d'une « autre époque » il ne faut plus regarder des vieux Chaplin, lire du Jules Vernes ou supprimer les peintures impressionnistes des musées ? Je trouve donc le concept des Minds de rejouer uniquement des morceaux de leurs albums d'avant leur big succès interplanétaire un vrai cadeau pour les fans et une belle preuve de leur talent et générosité musicale.

Simple-Minds-07-paris-630x420.jpg
 La qualité du concert était supérieure à celle du  dernier auquel j'ai assisté, au Bataclan en juin 2010 qui était déjà un super évènement. C’est d’ailleurs ce concert qui m’avait poussé à ouvrir ce blog à l’époque et à lui consacrer mon premier article. Au Bataclan j’y étais avec deux amis dont un que je connais depuis plus de trente cinq ans et on à remis ça au Casino. C’est drôle car c’est avec cet ami que nous avons assisté à nos premiers concerts de Simple minds à Bercy en février 1986 et juin 1989, comme quoi les Minds et l’amitié traversent les années.
Bon revenons en au concert, le son, les jeux de lumière et l'acoustique de la salle était donc bien meilleurs qu’au Bataclan. Seul bémol J'étais au deuxième rang sur la droite très près des enceintes et la voix de Kerr n'était pas toujours très audible. Par contre la proximité avec le groupe était géniale, je pouvais compter les gouttes de sueur sur le front de Jim Kerr et voir le plaisir qu’ils prenaient à être sur scène.

Simple-Minds-12-Paris.jpg


Le concert à démarré très fort avec un I travel survitaminé et très électrique, l'autre moment fort pour moi c'est Love song, une des chansons les plus puissantes et les plus dynamique du set. The American et Chelsea girl furent de grands moments de communion avec un public qui ne cachait pas son plaisir (au moins autour de moi). Pleasantly disturbed, permis de planer quelques instants et de découvrir Charlie Burchill au violon. J'attendais toujours avec impatience mes morceaux préférés de l'album new gold dreams et j'avoue avoir été un peu déçu par le Promised you a miracle que  j'ai trouvé un peu trop léger par contre sur les autres, Someone somewhere…,  Glittering prize, j'ai pris mon pied surtout sur le New gold dreams qui malheureusement clôturai ce super moment, 2h30 trop courtes.... et j’aurais bien aimé un 5x6 histoire de profiter de Speed  your love to me et Waterfront, mais bon 5x5 c’est déjà pas mal ! Un très bon moment du concert fut Themes from great cities même si s’agissant d’un instrumental, Kerr n’était pas là. Même si Someone n’est pas l’un de mes morceau préféré sur album j’ai bien apprécié l’énergique et originale interprétation live qui avait une saveur de post-punk de la fin des 70’s.

Simple-Minds-17-paris.jpg
Jim Kerr comme à son habitude était habité par ses chansons, et malgré les années il a fait preuve d’une très belle énergie communicative. J’ai découvert sur le site du groupe qu’il s’était blessé dès la 4° chanson au niveau du muscle ischio-jambier, malgré cela il a continué le concert dans son style exubérant comme il le dit lui-même et comme si il avait encore 20 ans !
Vous trouverez ci après la set-list  du concert et quelques vidéos mises en ligne par des fans que je remercie,  je ne mets ici que quelques extraits, mais  j’ai créé une playlist  à partir de toutes ces videos que j’ai remis dans l’ordre pour essayer de revivre ce formidable concert. (découvrez la, ici)

et quelques albums photos la et  Ici et la aussi


Il me reste maintenant à continuer ma série d’article consacrée à tous les albums des Minds en attendant leur prochain concert.


Part #1:
I Travel
30 Frames A Second
Today I Died Again
Celebrate
Scar
Life In A Day 
Hunter And The Hunted
Premonition
Wasteland
Love Song
Pleasantly Disturbed
Room
Part #2:
The American
In Trance As Mission
70 Cities As Love Brings The Fall
Calling Your Name
Changeling
Factory
This Fear Of Gods
Promised You A Miracle
Someone Somewhere (In Summertime)
Encore:
Theme For Great Cities
Someone 
Chelsea Girl
Glittering Prize
New Gold Dream (81,82,83,84)         

 

 


 

 

 

 

 


 

 


 

 


 

 

 

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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 23:22

 

SISTER FEELING CALL

 SimpleMinds-SisterFeelings

Comme je lai indiqué dans mon précédent article, les 4° et 5° album de Simple minds auraient du originellement sortir sous forme dun double album, ce fut le cas en fonction des édition et réédition mais jai choisi douvrir 2 post afin de donner plus de visibilité à ces 2 albums. Je considère donc Sister feeling calls comme le 5° album solo du groupe. Entre les deux albums, les chansons sont dun genre assez homogène et auraient pu se retrouver aussi bien sur lun ou lautre des deux .

 the-american.jpg

The american est La chanson de l'album qui sorti d'ailleurs en single, épique et energique. Dans l'extrait live on peut voir comment Jim Kerr donne vie physiquement et vocalement aux chansons qu'il interpréte de façon théatrale et captivante

themecitiescomp.jpg

Theme from great cities est un morceau intrumental qui dégage une ambiance mystique et héroique ou intruments classiques et synthétiques sont au diapason dans une belle association qui me fait planer.

League of nations est un morceau plus axé cold-wave qui parfois me fait penser à ce que Depeche Mode vont sortir quelques 4-5 ans plus tard en plus synthétique.

Wonderful in young life est un morceau plus rock et classique, mais qui à certain moment se permet des envolés plus originales. Et dans lequel on peut reconnaître en fond sonore le son du synthé si particulier qui sera sublimé dans l'album à venir New gold dreams.

  • 1.Theme For Great Cities - 5:50

  • 2.The American - 3:49

  • 3.20th Century Promised Land - 4:53

  • 4.Wonderful In Young Life - 5:20

  • 5.League Of Nations - 4:55

  • 6.Careful In Career - 5:08

  • 7.Sound In 70 Cities – 5:01

 Production – Steve Hillage

  • Jim Kerr - Voix

  • Charlie Burchill - Guitares, Saxophone

  • Michael MacNeil - Claviers

  • Derek Forbes - Basse

  • Brian McGee - Batterie

 

  •  

     
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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 00:11

SONS AND FASCINATION

SONS-AND-FASCINATION-ALBUM.jpg


En 1980 les Simple Minds  font leurs premières scènes à Paris, au Palace, aux bains-douches et en première partie de Peter Gabriel a l'Olympia. En septembre 1981 il reviennent avec un ou plutôt deux nouveaux albums. En effet avec les 10,000 premiers tirages de «Sons and Fascination» on pouvait trouver un disque bonus « Sister Feelings Call », ce qui fait que parfois ces deux albums sont considérés comme un double, ce qu'ils étaient censé être à l'origine. Pour ce qui me concerne je vais les considérer indépendamment, bien que c'est la double cassette que j'avais acquis dans les 80's et donc j'avais découvert ces albums ensemble.

sons-and-fascination_sister-feelings-call_cassette-double_f.jpg

 

C'est leur premier album avec la nouvelle maison de disque Virgin qui leur accorde plus de considération et avec le nouveau producteur Steve Hillage (ex-Gong). Pour ma part je considère que c'est l'album qui marque vraiment leur son, un son  particulier qui trouvera l'apothéose dans l'album « New Gold Dreams ». Je pense que c'est  le premier album que l'on peut considérer à 100% new-wave, par l'esprit qui s'en dégage, l'originalité des compositions et l'ouverture sur une nouvelle ère musicale. L'ambiance est à la fois mélancolique, héroïque, épique, esthétique, sophistiquée, énergique et électrique, des adjectifs qui lorsqu'ils sont rassemblés qualifient pour moi le meilleur de la new-wave. Cet album est vraiment dans l'air du temps, et c'est d'ailleurs le premier succès commercial puisqu'il se classe en 11° position du top album en Grande-Bretagne et que les singles extraits frémissent en marge de ces fameux classements. Peu à peu Simple minds sort de l'undreground.... mais jusqu'à quel moment résisera t-il à la machine à tuer l'originalité US ?

love-song.jpg
Le premier extrait est « Love Song », mon favori dans lequel on retrouve le côté épique électrisant,  un mélange de groove et de rock, propre à la newwave. On y découvre une des premières mise en scène du groupe dans un clip, et la façon très théâtrale et expressive dont Jim Kerr interprète ses chansons. Un style légèrement grandiloquant et original ou il semble habité par ses chansons sur scène.

 

sweat-in-bullets.jpg
Le deuxième extrait « Sweat in bullet »,  mélange subtilement instruments traditionnels et synthétiseurs dans une chanson, rock et groove, avec un son puissant et héroïque servi par une superbe prestation vocale de Jim Kerr. Les autres morceaux de l'album ne sont pas sortis en singles mais n'en restent pas moins de superbes échantillons de ce que Simple minds peut réaliser de superbe


« Boys from Brazil », offre une ambiance plus planante et hypnotique avec une batterie omniprésente qui rythme cette chanson de manière très forte.

 

Simple-Minds-Sons--Fascination-72572-copie-1.jpg
« Sons and fascination » donne l'occasion de voir ici Simpleminds live au Rockpalast.


« Seeing out the angel », est plus électronique que les autres titres et plus éthérée aussi, elle créé une ambiance onirique, mélancolique  et électrique.


Et parce qu'il faut une fin, « In trance as mission », au rythme saccadé et rythmé avec une voix de Jim Kerr plus en rondeur.

1.In Trance As Mission - 6:50
2.Sweat In Bullet - 4:30
3.70 Cities As Love Brings The Fall - 4:48
4.Boys From Brazil - 5:30
5.Love Song - 5:03
6.This Earth That You Walk Upon - 5:26
7.Sons And Fascination - 5:23
8.Seeing Out The Angel - 6:11

Production – Steve Hillage
Jim Kerr - Voix
Charlie Burchill - Guitares, Saxophone
Michael MacNeil - Claviers
Derek Forbes - Basse
Brian McGee - Batterie

 

 

 

 

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 22:13

 

EMPIRES AND DANCE

empires-and-dance.jpg

 

On continue dans la discographie de Simple minds 

En 1980 sort le 3° album du groupe, Empires and dance, qui flirte toujours entre néo-punkrock, musique expérimentale et pré-newwave, rien que ça. Cependant la part dévolue aux instruments et sons électronique augmente encore plus et le synthé n’est plus un simple instrument d’accompagnement mais passe pratiquement au premier plan. Certains morceaux sont littéralement expérimentaux et proposent autre chose que mélodie et chant, par exemple le morceau twist-run-repulsion. Ce côté très expérimental, parfois rebutant associé à la politique frileuse de leur maison de disque fait que le succès commercial n’est pas encore au rendez vous. Par contre leur notoriété et un bataillon de fans commence à croitre de plus en plus. C’est apres la sortie de cet album que Simple minds change de maison de disque et passe de Arista à Virgin. En tout cas il est clair que le groupe est plus dans la recherche de nouveaux sons et concepts musicaux que dans celle d’un succès grand public et commercial.

simple-minds-i-travel.jpg 

Le premier single extrait de l’album, I travel, sur un rythme très syncopé propose des sons très électriques à la guitare et au synthé, qui à mon sens nous offre les prémices du mouvement new wave.

Today I died again (aujourd’hui je meurs de nouveau), est lui beaucoup plus calme et propose une ambiance aérienne et qui fait me fait penser à de grands espaces naturels et sauvages. La basse de Derek Forbes s’y fait plus entendre que sur d’autres morceaux et donne un côté envoutant à cet ensemble qui est mon morceau préféré de l’album.

single_celebrate.jpg

Le deuxième single extrait, Celebrate, ne me convint pas trop en tant que single, sans doute à cause de la répétition trop martiale du rythme et de sa linéarité, mais propose des variations de sons assez plaisants.

Thirty Frames a second est celui qui propose à mon sens le son plus newwave et que l’on retrouvera par la suite dans des groupe comme par exemple Depeche mode

Room est un morceau plus posé que le reste et me fait penser, si on change un peu l’orchestration, à ce que le groupe produira dans les années 90.

  • 1.I Travel - 4:00

  • 2.Today I Died Again - 4:36

  • 3.Celebrate - 5:03

  • 4.This Fear Of Gods - 7:03

  • 5.Capital City - 6:15

  • 6.Constantinople Line - 4:43

  • 7.Twist/Run/Repulsion - 4:31

  • 8.Thirty Frames A Second - 5:02

  • 9.Kant-Kino - 1:52

  • 10.Room - 2:28 

  • Production : John Leckie

  • Jim Kerr - Voix

  • Charlie Burchill - Guitares, Saxophone

  • Michael MacNeil - Claviers

  • Derek Forbes - Basse

  • Brian McGee - Batterie

 

 

 

 

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 00:06

REAL TO REAL CACOPHONY
real-to-real.jpg
Toujours en 1979, les Minds sortent leur deuxième album, "real to real cacophony", plus inspiré, plus créatif et original. Ils expérimentent de nouveaux sons, et les nouvelles possibilités liées au développement des synthétiseurs.
L’ambiance est plus sombre, plus intimiste. La voix de Kerr devient moins impersonnelle et il commence à trouver sa signature vocale. Je pense que l’on peut sentir les  influences des groupes électroniques comme Kraftwerk, ou  Gary Numan qui cartonne à l’époque et ouvre la voie à ce que l’on va appeler la new-wave. Commercialement l’album ne fonctionna pas, pas plus que le single extrait "changelling", mais il recueille et certain  succès d’estime. Il est clair que cet album est beaucoup trop expérimental et à sous doute eu du mal à trouver son public, entre les anciens orthodoxes du rock progressif qui ont du les juger trop jeunes et imberbes et les jeunes qui grignotent encore les restes du punk et de la disco. Le morceau Veldt est d’ailleurs la quintessence de l’expérimental, et c’est d’ailleurs incroyable qu'a l’époque ou la place sur les vinyls était limitée, un groupe ose ce genre de chose. En tout cas on est encore loin du "don’t you" qui restera malheureusement le morceau le plus connu du grand public.

changeling.jpg
Pour commencer je vous propose "Factory" qui laisse déjà entrevoir ce que le groupe pourra apporter dans le futur un son mélant instruments tradtionnels et synthétiseurs, un rock électrique et épique.
Le deuxiéme extrait, le single "Changelling" s’inscrit lui aussi dans la même veine.
"Real to real" est vraiment expérimental et novateur pour l’époque et je pense le plus inspiré par l’univers synthétique et electrique de Kraftwerk.
"Premonition" est d’un style plus rock traditionnel, avec une superbe ligne de basse  qui prouve que le groupe peut faire le grand écart entre des morecaux lent et profonds comme "real to real" et des morceaux énergiques et fougueux.
"Calling your name" lui reste tres marqué seventies, il aurait à mon avis pu figurer sur l’album précédent .
premonition.jpg
1.Real To Real - 2:47
2.Naked Eye - 2:21
3.Citizen (Dance Of Youth) - 2:53
4.Carnival (Shelter In A Suitcase) - 2:49
5.Factory - 4:13
6.Cacophony - 1:40
7.Veldt - 3:20
8.Premonition - 5:29
9.Changeling - 4:11
10.Film Theme - 2:27
11.Calling Your Name - 5:05
12.Scar - 3:31

Production : John Leckie
Jim Kerr - Voix
Charlie Burchill - Guitares, Saxophone, Violon
Michael MacNeil - Claviers
Derek Forbes - Basse
Brian McGee - Batterie

 

 


 

 

 


 

 


 

 


 

 

 

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