Je m'étais promis de ne jamais m'indigner, faire de coups de gueule, dénoncer ou râler à propos de fait de société, de faits divers, de politique etc... Il y aurait tellement à dire que je resterai collé 24/24 sur mon ordi;
Mais comme je fais ce que je veux des promesses que je me suis faites et comme j'en ai envie, je romps momentanément celle ci. Pas pour m'indigner du comportement fascisant et liberticide (et en plus totalement idiot) du Premier ministre québécois Jean Charest, non juste pour appeler au boycot de Total et Elf (ce dernier faisant partie du groupe), qui comme les maffieux veut profiter de failles de la loi et de soit -disant zones de non-droits pour échapper a ses responsabilités quand à la pollution engendré par son bateau pourri l'Erika.
Extrait des faits : Pour une question de régularité juridique, Total et les trois autres condamnés dans l'affaire du naufrage de l'Erika pourraient être blanchis. La Cour de cassation rendra sa décision le 25septembre prochain, soit près de 13 ans après la catastrophe.
Évidement on ne va pas s'arrêter de rouler, et les autres pétroliers ne sont guere meilleurs, mais le message quand on sait l'importance que revêt la comm pour ce genre d'entreprise est que toute contre-publicité est bonne à prendre.
Rappelons un des slogans de Total : vous ne viendrez pas chez nous par hasard, moi je dis nous n'esquiverons pas vos pompes par hasard !
Non je ne serai pas injurieux en disant fuck Total et j'ai une pensée respectueuse pour les salariés lambda de cette entreprise qui voient leur travail pollué et salli par la décision d'une chaine de commandement au sommet de laquelle on trouve le sieur Christophe de Margerie, qui ne manque pas d'une certaine arrogance crasseuse, voir ci après.
Voici un petit extrait d'une déclaration du pdg de total sur les super profit de son entreprise, HE IS FOUTING DE NOS GUEULES....
Christophe de Margerie, PDG de Total, a répliqué samedi 11 février aux critiques sur les superprofits du groupe pétrolier, qui a annoncé plus de 12 milliards d'euros de bénéfices. Dans une interview au Parisien, il souligne que la qualité de l'essence justifie des "prix plutôt chers". "Je suis toujours surpris que l'on nous reproche nos prix. Si tout le monde était au même prix, il n'y aurait plus de concurrence", affirme Christophe de Margerie.
"Agacé" par l'image de son groupe, Christophe de Margerie souhaite la corriger : "Total est un mythe, il faut le casser" dit-il avant de conclure : "Gagner de l'argent, ce n'est pas négatif, surtout en période de crise. C'est une chance pour notre pays".
Corinne lepage avocate des communes sinistrées s'explique au micro de Robert Menard
Bon allez vaut mieux en rire