Ceux qui sont habitués à ce blog (...oui, il y en à, 2 ou 3 mais toujours fidèles) trouveront bizarre que je consacre un article à un genre de musique autre que l'electro, la new-wave ou le synth-pop, mais vous aller voir que cela n'est pas si incongru que ça.

Réveillon de fin d'année 2012 à Heiligenstein ( que je vous invite à découvrir ici), vient le moment de monter le son et de faire bouger les gambettes. Les jeunes n'ayant pas daigner nous faire grâce de leur présence, pas de Gnan-gnan style, de LMFAO, ou de Black eyed peas. Profitant d'un moment d'inattention du public éméché je glisse dans la platine un cd intitulé « mes soirées new-wave ». Petit aparté sur l'escroquerie de l'industrie musicale, dans ce cd on trouve des choses aussi new-wave si AC/DC figura sur une compil de jazz comme Kim Carnes, Yes ou level 42 par exemple, bon passons. Après une chorale casse-oreilles sur « Video killed the radio star » arrive le seul morceau new-wave du cd l'excellent Nowhere girl de B-movie. Enfin excellent pour seulement deux personnes dans l'assemblée à ma grande déconvenue... bon je vous laisse juger par vous même de ce morceau tiré de leur album forever running en 1980, un peu trop underground  et cold sans doute...

J'aurai aussi pu mettre la version de cette chanson reprise en mode jazz ou par Marina celeste ( qui chante avec le groupe Nouvelle Vague..voire ci dessous),  ouaussi la reprise par Real life, ou une reprise en mode chill out, ou en mode techno.. bref ce titre à éte repris à toutes les sauces (au moins une dizaine de reprises répertoriées dans deezer.

Mais connaissant les lascars j'avais amené une arme secrète... le Bal des Martine, changement radical de style, puisque ce groupe français reprends en mode rythmo-latino (rumba, salsa), des chansons des répertoires de Piaf, Aznavour, Jeanne Moreau voire même l'hymne des résistants italien, Bella Ciao ou le I will survive de Gloria Gaynor. Comment ce cd à t-il pu atterrir dans ma discothèque entre les cd de Simple-minds, Japan ou Golfrapp pour n'en citer que quelques uns ?

Il y à de cela quelques années, je ne sais plus si c'était la fête de la musique, un évènement du comité des fêtes ou autre chose, bref, Le bal des Martine c'est produit dans notre village. Et je dois dire qu'ils nous ont fait guincher... a tel point qu'avec mon épouse nous avons gagné leur cd en nous trémoussant sur leurs musiques endiablées. Danse avec les stars tient toi bien on arrive... Rebelote en cette fin d'année 2012 pour guincher avec un cercle plus restreint et juste avec le cd.

Pourquoi l'alchimie prend elle lorsqu'ils jouent quand bien même que l'on ne soit pas un inconditionnel de rumba et autres ritmos latinos ? c'est que plutôt que d'interpréter d'obscures morceaux de ces genres qui certes seraient bien rythmés mais qui ne parleraient pas au commun des mortels, il reprennent comme je l'ai dit des morceaux qui même si on n'est pas fan de Piaf ou autres chanteurs de nos anciens temps sont ancrés dans notre inconscient musical et culturel, comme le seront dans 50 ans « Gangnam style » et « I gotta feeling » (va savoir...) car après tout ce ne sont rien d'autre que des morceaux que l'on peut qualifier de « Populaires » et qui font danser les foules.

Même moi qui suis très, très loin d'être un fan d'accordéon, je suis emporté par le tourbillon de leurs reprises qui mettent à la puissance rythme ces chansons. Il faut dire que je suis aussi un fan inconditionnel du concept-groupe français Nouvelle vague qui bien que puisant dans un registre différent, les morceaux new-wave, post-punk voire même l'hymne punk God save the queen, recomposent des chansons originelles plutôt synthétiques, sombres ou carrément allumées en mode Bossa nova, un genre totalement à l'opposé. Il fallait oser, ils l'ont fait, bravo car c'est réussi. J'avais même commencé mon concept de blog en présentant pour chacune de leur reprise l'original et leur cover, concept interrompu mais qui rependra bientôt...Revenons en au B-d-M, qui donc sont eux aussi dans ce concept de réapropriation et réécriture de chansons avec une couleur très différente de l'originale. Je vous encourage à découvrir via leur site et au travers de quelques extrait de leur concerts ce joyeux groupe.

Moi mes préférés sont "Le tourbilon de la vie" et "emmenez moi"

J'avais écrit il y à quelques temps un article « Lescop l'arbre qui cache la forêt new-wave » et bien voici que des bois est sortie une dryade qui m'a enchanté avec sa musique electro-pop-rock. La dryade porte le nome de Mia April et est française même si ses textes sont en anglais, et l'épaisse couverture de buissons, ronces, et autres végétations envahissantes produites par les médias institutionnels français l'avait soustrait à mon oreille qui pourtant furète un peu partout à la recherche de belles musiques perdues dans les bois.

Trêve de balivernes, le Premier album de Mia April s'appelle Faster et est sorti le 3 décembre 2012 sur le jeune label Metrophon ( qui à l'air de receler d'autres pépites ...).

L'album contient 10 titres aux sonorités electropop et rock, toujours excellemment rythmés par une batterie punchy et fougueuse. L'envoutante voix de Mia et les somptueux sons synthétiques et electros procurent aux chansons de cet album une dimension dramatique et romanesque. La guitare électrique apporte quand à elle son côté rock et dynamique. Tout cela s'assemble allègrement dans une ambiance très très dynamique, juste ce qu'il faut de funky et groovy, juste ce qu'il faut de rock(y) le tout produisant une énergie électrique enivrante et addictive.

Cet album n'a rien à envier aux productions anglo-saxonnes, canadiennes ou suédoises dont je suis si friand. Le son de l'album est impeccable et moderne, une production hyper professionnelle, qui laisse tout de même libre court à la fantaisie de l'artiste.

Les 10 morceaux peuvent tous être des hits en puissance, même si la notion de hit peut avoir une connotation négative, disons plutôt qu'il n'y à pas de morceau plus faible que les autres ou de morceaux de remplissage et que si les médias institutionnels étaient moins timorés et leurs programmations moins dictées par des considérations d'audience chacun des 10 titres pourrait allègrement être diffusé sur les ondes. Bon au moins cela permet à de modestes blogueurs comme moi de se sentir un peu utile en parlant d'artistes comme Mia April, Contre Jour ou Waiting for words. Comme ce n'est pas mon métier d'écrire et que je ne maitrise aucune technique musicale (à mon grand désespoir), souvent les mots justes me manquent pour décrire ce que je ressent avec précision en écoutant certaines musiques, et puis aussi un peu par fainéantise, je vous livre un petit descriptif des 10 morceaux qui n'est pas de moi, avec quelques extraits.

Découvrez l'interview qu'elle m'a accordé ici

Et...  je vous livre tout de même mon top 5 : 1 Superstar 2 Folded 3 Daylight 4 Around me 5 ex-aequos Boys and girls et Faster

01 Ugly Life :Une ouverture des hostilités en douce fureur, au travers d’une balade folk qui s’enrage à mi-parcours pour vous habituer au chaud et froid que souffle avec tant de facilité MIA APRIL, de Donna Summer à Beth Ditto en 3mn30.Voici une petite illustration en live ce titre

02 Folded :Ce second titre, prolongement naturel d’un disco-rock rappelant entre autres Jamiroquai, emprunte à la new wave certains claviers dans ce que ce style a pu proposer de moins kitsch. Au final, un morceau dansant et frais, une locomotive de dancefloor à facettes.

03 Daylight :Pour la première fois du disque, MIA APRIL nous entraîne dans une ritournelle mélancolique qui révèle ici son talent harmonique. Catchy et captivant ce morceau fait voyager, quelque part entre The Killers et Peaches.

04 A New Day :Un groove millimétré qui soutient à merveille la sensualité de MIA APRIL.Entre chant et déclaration la progression de ce titre est hypnotique et invasif.

05 Superstar :Une profession de foi qui se fait à la lueur d’un univers coldwave glacé et brûlant tout à la fois. Une armada synthétique aux accents mélancoliques.

06 Young People : Young People vous plonge dans la seconde moitié du disque au travers d’une invitation électronique massue. Des guitares/basses qui rebondissent sur un beat mécanique martial et puissant. La voix de MIA APRIL prend ici des couleurs soul parfois, girly à d’autres moments, pour finir sur des notes plus rock’n’roll.

07 Around Me : Des syncopes liquides aux rebonds bien solides, ce morceau est une invitation à l’épilepsie des sens.

08 Boys and Girls :L’incarnation du disco-rock ! Une turbine fracassante et sauvage qui s’élève sur les refrains pour des up and down vertigineux.

09 Disorder : Le cri adolescent d’une artiste pleine d’ambition. Le cri qui rend tout le reste possible. Le tempo s’affole et les guitares se tachent.

10 Faster : Ultime track de ce disque, ce morceau est au final le porte-étendard de MIA APRIL, son chemin de vie, votre chemin de sons tandis qu’elle vous fait ses adieux.

Maintenant il ne vous reste plus qu'à vous procurer son album, par exemple sur le site de Virgin ou sur celui d'I-tunes. Pour la modique somme de … 2,99€, honnêtement à ce prix là c'est donné pour un album de cette qualité. 

Voilà bien longtemps que je n'ai pas consacré un article au steampunk sur ce blog. Steamkoi ? Steampunk.... Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est, je ne peux que vous orienter sur mon article « qu'est-ce que le steampunk ? » ou sur ma chronique de l'ouvrage qui lui est consacré par Etienne Barillier. Normalement j'aurai du aussi consacrer un chronique à la «Steampunk Bible » de Jeff Van de Meer et Selena J Chambers, mais c'est encore dans les tuyaux de mon micrO et de mon cervO.

Pour faire (très) court, le steampunk est d'abord un genre littéraire qui s'inspire des univers verniens et wellsiens, revu à a la sauce du 20° et 21° siècle? De la science fiction ou/et du fantastique nappé dans les brouillard de la révolution industrielle et de l'avènement de l'ère de la technologie de la fin 19°. Mais le steampunk à largement débordé de son simple cadre littéraire pour migrer avec plus ou moins de succès vers le cinéma, la bd ou le jeu vidéo, et chose plus improbable vers la Vrai Vie. J'entends par Vrai Vie, la création d'artefacts et vêtements steampunkestes, que je classerai dans deux catégories qui s'interpénètrent : les œuvres d'arts et les vrais objets fonctionnels. Et cela ne s'arrête pas la le mode de vie de certains tourne désormais autour du steampunk, un cran plus loin que le cosplay. Vêtements, bijoux et autres accessoires steampunk sont désormais accessibles et peuvent être achetés sur différents sites, quoi que le vrai steampunker, ou vaporiste en français préfèrera se les fabriquer lui même si il en a la possibilité. Aux états-unis le mouvement steampunk a une certaine ampleur et donne lieu à des conventions, ou fait l'objet de récupération commerciale par des artistes qui l'utilisent dans leurs clip alors qu'ils n'ont rien à voir avec ce style, j'ai nommé… Justin Bieber (oups!). Il existe cependant de vrais groupe de musique qui sont eux totalement imprégnés de cette philosophie vaporiste et qui font une musique officiellement estampillée steampunk, par exemple les Abney park aux USA et Victor Sierra en France.

Pour présenter ce mode de vie et ses création steampunk je vous propose de découvrir la Steam Rocket, à travers deux clips. 

 La Steam Rocket est une association qui a pour but de promouvoir le Steampunk via des évènements variés, et la mise en valeur du travail des artistes et des créateurs du milieu, en partenariat direct avec Steampunk.fr

Pour commencer une petite présentation de personnages vaporistes (puisqu'ils sont français) en chair, en os, et en métal lors du festival Jules Verne au grand Rex qui fêtait ses 20ans. La musique qui accompagne le clip est de Death in Vegas, pas un groupe steampunk, mais d'un style que j'affectionne et que j'ai glissé du coup dans ma discothèque.

Le deuxième clip nous balade rue de la rocket à travers des stands ou sont exposés différents artefacts, bijoux, armes et vêtements vaportistes. Cette expo était réalisée dans le cadre du marché de l'Histoire et du Festival Fous d'Histoire 2012 à Pontoise. La musique qui accompagne ce clip est celle du groupe cité plus haut Abney park qui pour le coup est totalement steampunk.

Et comme vous êtes sage et qu'il vaut le coup d'œil je vous propose le clip Steampunk revolution des Abney park pour vous prendre du steampunk plein la vue.

Toujours là ? faut croire. On peut allégrement se foutre de la gueule de ceux qui ont prédit la fin du monde, et la fêter la fin d’un business pour certains. Il faut dire que pour ceux qui pensaient que la fin du monde arriverai  en l’an mil, puis en l’en 2000 attendre l’an 3000 ça faisait un peu long, même avec l’allongement de la durée de la vie. Non dénués de ressources lorsqu’il faut aller pourrir le moral des pauvres pecheurs que nous sommes ou soutirer des sous à de pauvres crédules, il sont allés chercher le calendrier d’une ancienne civilisation oubliée. Moi je serai tout simplement allé chercher le calendrier des postes 2012 qui, oh malheur ! s’achève le 31 décembre !Cette fois ci Paco Rabane n'a pas squatté nos médias pour annoncer la chute d'un astronef, étonnant. Et à suivre avec 2025 le calendrier Assyrien.

Comme je suis parti dans un trip chroniqueur de l'actualité je vais continuer dans la foulée, certains dirons pourquoi perdre son temps à écrire des conneries qui ne seront lues que par 2 ou 3 internautes de passage ? Mais j'écris avant tout parce que ça me plait, et que l'écriture dans le cas présent est un bon défouloir.

Qu'est ce qui a retenu mon attention dans les actualités ces derniers jours après la non-information concernant la fin de temps.... la tuerie dans l'école élémentaire à Newton bien évidement.

En tant que père de famille et en tant qu'humain tout simplement je suis horrifié par ce terrible fait divers. Mais cela ne m'empêche pas d'avoir un sentiment aigre quand au traitement médiatique et la façon dont nous considérons cela. Cet événement nous horrifie et pourtant tous les joursles journaux, les médias devraient faire la une sur les milliers d'enfants qui meurent dans des circonstances tout aussi dramatiques de par le monde, guerre, maltraitance, violence « ordinaire », travaux forcés, exploitation etc... je ne parle même pas de la maladie te la malnutrition. Mais nous et moi le premier, je le reconnais sommes plus sensible à ce genre de drame dans une société, les USA qui hormis la circulation de armes nous est plus proche, que d'autres, suivez mon regard... Mais comme le disais Enrico Macias (là je passe direct pour un gros naze qui cite Macias, mais tant pis), « malheur à celui qui blesse (tue) un enfant », j'en profite pour caser ici un de mes anciens articles Qui peut tuer un enfant ? L'autre truc agaçant c'est « c'est la fautes des armes », alors oui bien sur que n'importe qui puisse disposer facilement d'armes de guerre c'est foncièrement crétin, mais.... il ne faut pas oublier que ce qui tue c'est le mal-être et la folie de ceux qui tiennent l'arme. Pourquoi tuer des enfants ? Plutot que Comment ? la est la vraie question de société.

Ce qui est très bien avec les infos sur internet comparativement a celles fournies en mode masse et audimat par la télé c'est qu'a côté de l'info principale d'autres articles liés permettent de la mettre en perspective et d'élargir notre avis. C'est ainsi que je suis tombé sur d'autres infos qui étayent mon humble avis : massacres d'enfants, ailleurs qu'aux USA non médiatisés en masse et massacre sans usage d'armes à feu. En Chine ils sont effectivement plus rustiques car il utilisent marteaux et couteaux, voici une illustration parmi tant d'autres, mais certains vont dire « ben m'enfin c'est que des chinois on va pas faire une édition spéciale pour ça, ben c'est clair déjà qu'il nous piquent notre travail... ». 

Faisons maintenant un tour dans le passé retournons vers les USA, pour faire taire ceux qui disent « de mon temps ça n'existait pas tout ça, c'est pour ça que la fin du monde blabla.. », ben on gars tu n'avais ni internet ni la télé pour te le dire. Bath, USA 1927 un fermier de 55 ans fait sauter une école, 45 morts dont 38 enfants de 6 à 12 ans !je tiens à préciser qu'il n'avait pas de console de jeux vidéos, n'écoutait pas du hard rock et ne jouai pas aux jeux de rôles. Son prétexte pour la tuerie est beaucoup plus terre à terre; il payait trop d'impôts pour financer les établissements scolaires ! imaginez si il avait été français. Bon pour finir avec ces morbides informations j'aurai aimé savoir ce qu'en ont pensé Laure Manaudou et Jacques Cheminade de tout cela, mais oui rappelez vous, ils avaient déclarés suite au massacre commis par Merah, que c'était plus ou moins dû aux jeux vidéos violents , oups non ce n'est pas l'idéologie religieuse, ni comme dans le cas du norvégien Breivik , l'idéologie nazie immiscé dans des esprits fragiles de personnes nées sans le chromosome de la compassion qui a donné lieu à ces tueries, juste un abus de manette de console. Ben oui car la violence sachez le à été inventée par Sony, Hollywood, etc...

Dernier commentaire sur cette malheureuse affaire, le discours du président Obama, et surtout son émotion apparente. Vraie émotion, coup du jus d'oignon sur les doigt, geste déplacé ou juste compassion, chacun jugera. Pour ma part je voilà le message que je reçoit : je crois en sa sincérité et en un vrai sentiment de compassion et je ne pense nullement que des larmes d'un homme, même et surtout s'il est le président d'une des première puissance du monde soient un signe de faiblesse bien au contraire. Une réaction efficace n'est pas freinée parce que l'on verse une ou plusieurs larmes, et dix larmes valent mieux que le foutoir mondial dans lequel nous a foutu Bush après les attentats du 11 septembre.

Bon maintenons revenons en France avec quelque chose de plus léger, après la saga Copé/Fillion,, nous avons maintenant Depardieu/Ayrult il faut dire qu'on est dans le pays de duos comiques: la grande vadrouille; le corniaud, la chèvre, l'emmerdeur etc... Gérard se casse en Belgique, moi je suis d'accord, à condition qu'on ne le vois plus dans un film sur 3 qui sort en France. La question est de savoir pourquoi tant d'émotion ? Ce n'est pas le premier à se casser pour gagner un peu plus, plus on a, plus on en veux, c'est une règle universelle à laquelle malheureusement peu échappent, n'est pas mère Thérésa qui veut. Et Gégé doit en être bien bien loin, c'est clair que lorsqu'on est une vedette qui fait le métier qu'elle aime, que l'on est admiré et que l'on gagne beaucoup de thune c'est l'enfer de vivre en France. Bon heureusement qu'il nous a pas pété un plomb comme l'américain qui parce qu'il payait trop d'impôt à fait sauter une école. Comme je le disai on est dans un comique de duo, quel bon sketch que celui de M Ayrault c'est vrai que renchérir sur le geste certes radin (minable ? Sans doute) de Gégé n'était pas la meilleure réplique que l'on ai pu sortir, et il y mieux à faire. Coluche revient, ils racontent que des conneries !

Dernière nouvelle l'ami Poutine qui offre un passeport au pauvre Gégé, je ne savais pas que les russes avaient autant le sens de l'humour. Ah, au fait, gaffe parce que l'ami Gégé serait capable d'aller pisser dans le bénitier dans la cathédrale du Christ st Sauveur, « FREE PUSSY RIOT » dans ta tronche. Bon Gégé oubli Ayrault c'est le peuple de France qui te regarde, oui, tous ceux qui voudraient en payer un peu plus d'impôts, et même si il avait choqué à l'époque le geste de Gainsbarre avait quand même plus de classe, maintenant c'est sa vie et il en fait ce qu'il veut.

Bon fini de rire je vous propose quelqu'un que j'aime beaucoup, Monsieur Roberto Benigni sur le come-back de la vengeance du retour de Berlusconnerie, et là mon côté rital (ben oui) se dit putain on a de la chance en France !  Dommage pour ceux qui ne comprennent pas l'italien car c'est top.

Nouveau single extrait de l'excellent premier album  TRST de Trust-pas-le-groupe-hard-français,. Une chanson au tempo plus lent que les autres, mais toujours aussi addictive, avec la toujours particulière vois de Robert Alfons. Je me rends compte que ce blog ressemble de plus en plus à un blog sur Trust et Austra vu le nombre d'articles que je leur consacre.... et ils n'ont pas encore sorti leurs deuxièmes albums...