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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 00:45

 

J’ai vu dernièrement deux thrillers espagnols Hierro de Gabe Ibanez et les yeux de Julia de Guillem Morales

Le cinéma de genre espagnol nous à offert ces dernières années pas mal d’œuvres de qualité dans le genre fantastique et les thrillers à la marge de ce genre. En France les plus connus des réalisateurs espagnols restent Almodovar, Luis Bunuel et Carlos Saura, mais depuis quelques temps d'autres hispaniques arrivent à percer principalement dans le genre fantastique que j'affectionne. En voici un petit aperçu non exhaustif

 

  • Guillermo Del Ttoro est mexicain mais il a réalisé deux films se déroulant situés durant la guerre civile espagnol l'échine du Diable et Le labyrinthe de Pan.

  • Alejandro Amenabar nous a offert Tesis, Abre los ojos (dont Tom cruise a fait une version plus connue, Vanila sky) et le superbe Les Autres avec Nicole Kidman. Dans un autre registre Mar adentro et Agora

  • Juan Antonio Bayonna : L'orphelinat

  • Alex de la Iglesia : Balada Triste et surtout le jour de la bête qui date de 1997

  • Jaume Balaguero : REC, darkness et le terrifiant la secte sans nom

 

Pour en revenir aux deux films objets de l'article, ils sont tous les deux les premiers long métrages de deux jeunes réalisateurs et ne sont pas exempts de certains défauts dans la mise en scène ou le scénario, mais dans un genre largement occupé par les ricains, ils amènent un autre vision et manière d'aborder le genre thriller à la marge du fantastique.

hierro.jpg

Les-yeux-de-Julia-film

Les deux films ont plusieurs point communs, il racontent tous les deux la quête d'une femme qui la mène au bord de la folie. Dans Hierro l'héroïne part à la recherche de son enfant disparu alors qu'elle allait séjourner sur l'ile qui donne son nom au film. Dans les yeux de Julia, l'héroïne mène une enquête, alors qu'elle est victime d'une maladie génétique qui la rend progressivement aveugle pour découvrir celui qui aurait poussé sa sœur jumelle au suicide. On peut au passage on peut admirer la prestation des deux actrices respectivement Elena Anaya et Belen Rueda qui campent deux femmes tenaces prêtes à affronter leurs peurs et un monde hostile pour arriver au bout de leur quête.

Autre point commun c'est un esthétisme et une ambiance très particulière, un photographie des éclairages qui font que le spectateurs perçoit comme l'héroïne du film un monde étrange, parfois sombre et déformé qui trouble la perception et fait douter de la réalité. Dans Hierro les ambiances de l'ile sont parfois surréaliste, tout comme certains personnages, les décors intérieurs, voiture font penser à des années 70 délabrées dans des paysages qui sont loin de ceux d'Ibiza. Des effets spéciaux presque imperceptible sont utilisés pour troubler la perception du spectateur comme celle de l'héroïne. Dans les yeux de Julia, sa maladie qui la rend partiellement aveugle ainsi qu'un ennemi souvent présent mais difficilement perceptible donne lieu à des changements dans les éclairages et une photo très appuyées sur les clairs obscurs.

Des deux films ma préférence va vers les yeux de Julia.

 

Je vous laisse découvrir les bandes annonces respectives et les fiches sur allo ciné

HIERRO

LES YEUX DE JULIA

 


 

 

 

 


 

 


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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 22:52

 

De retour de vacances d’Espagne, il m’est venu à l’esprit de consacrer un article à un mouvement culturel et social qui s’est produit en Espagne dans les années 80 : la Movida!

 

la movida nb

 

Etant en partie d’origine espagnole, j’ai vécu une partie de ces évènements alors que j’étais jeune et que je passai tous les ans deux mois de vacances dans ce pays. Quelques-uns en France ont peut être entendu parler de ce mouvement grâce à Pedro Almodovar, qui est un bon exemple de ce qu’une Espagne décomplexée, festive, innovatrice, créative, imaginative et bouillonnante d'énergie, libérée du joug du dictateur ultra conservateur Franco peut produire. C’est en effet suite au décès de Franco, dernier des despotes européens, que l’Espagne et surtout sa jeunesse ont pu se libérer, mais aussi grâce au roi Juan Carlos qui permit de mettre le pays sur une nouvelle voie. Je ne vais pas plus me m’étendre sur le côté politique, et vais vous parler de ce que j’en ai ressenti à cette époque. Pour tout dire, il m’est difficile de faire la part des choses entre ce qui est du ressort de mes premières vacances d’ado sans parents, de l’esprit festif et jovial de l’Espagne et de ce qui est purement du ressort de la Movida. Ma Movida à moi je l’ai vécue à Léon, et non pas à Madrid, ville d'où le mouvement est parti. Léon petite ville de province comparable à Tours au nord ouest de la péninsule, m’a semblé à ce moment là plus pleine de vie que Paris.

leon.jpg

La Movida, que l'on pourrai traduire par "le mouvement", est pour la jeunesse espagnole l'equivalent des années 60 pour les français, la culture jeune, débridée, imaginative et décomplexée a enfin un droit à l'expression libre. Cela tombe début des eighties, le mouvement punk est passé par l'Angleterre lui aussi, pour donner un coup de pied dans la fourmilière, et la new wave est la musique branchée, c'est à mon sens, un peu ces deux mouvements britanniques qui influencent la Movida. Une artiste comme Alaska, reste la vision que je conserve de cette période, issue d'un groupe punk, elle réussit néanmoins à connaitre un gros succès commercial avec Los pegamoides et plus tard Dinarama. La musique est de la new wave parfois très pop, parfois gothique, et dansante. La chanteuse possède un look, une voix et une personnalité très particulière qui font que ce groupe n'est pas comme les autres. La scène musicale espagnole fourmille des très nombreux jeunes groupe indépendants qui ont accès a des médias, qui je trouve, étaient beaucoup plus ouverts que ceux de France.

alaska

En France, la musique est prise en étaux entre la variétoche et les vieux rockers réactionnaires, ce qui ne permet pas à beaucoup de groupes de décoller, rares sont ceux qui réussissent à être médiatisé en faisant quelque chose qui sorte un peu de l'ordinaire, Taxi-girl, Indochine, Marc Seberg... Bon repassons les Pyrénées côté musical c'était donc l'effervescence et ceux qui pensaient que la chanson espagnole se limitait à Julio Iglesias se trompent largement. Des groupes très politiquement incorrects, qui ne se distinguent peut être pas par les qualités de musiciens de leurs membres, mais plus par la spontanéité, l'énergie et le plaisir de monter sur scène sont très nombreux. Leurs influences sont les Sex pistols, les Clash, Siouxsie, les Ramones etc....Un autre mouvement plus propre et pop est le mouvement tecno-pop plus influencé par les groupes électroniques du genre OMD, Human Leleague, Simple minds etc... l'un de ce groupe, Mecano, réussira à obtenir un gros succès commercial par la suite.

mecano

Côté vie de tous les jours, il y avait pour moi qui venait de France plusieurs aspects que je trouvai relativement incroyables. Les pubs, qui sont loin du concept anglais, sont des bars ou l'on pouvait danser sur une mini piste, la musique étant diffusée par un DJ (parfois le barman) sur des platines, chaque pub ayant sa propre thématique au niveau déco ou musical. Le truc incroyable c'est le nombre de pubs et l'ambiance qui y régnait, et le fait que s'agissant de bars il était commun d'aligner la visite d'au moins 5 pubs dans la soirée. J'en viens à un autre aspects surprenant c'était l'accès aux boissons alcoolisées qui étaient très bon marché. Le cubata (rhum +coca + rondelle de citron) : en France on avait droit en boite, pour un montant astronomique, à ¼ rhum ¾ coca en Espagne les proportions étaient pratiquement inversées ! Il est clair qu'a ce rythme la l'ambiance était rapidement festive. L'entrée en boite était souvent gratuite et personne ne vous obligeai à consommer une fois à l'intérieur, mais il est clair que pour ça nul besoin d'obligation. Les salles de jeux electronique (salle d'arcade) se trouvaient à Paris dans les quartiers chauds à côté des sex-shops et étaient interdites au moins de 18 ans, en Espagne ces salles s'appelaient réécréativos et étaient plutot destinées au jeune public, c'est là que j'ai découvert les joies de Space invaders, Pacman, Asteroids etc... Dans le moindre troquet du plus profond des villages on trouvait au minimum une ou deux machines à sous, réservées en France aux Casinos.

space-invaders.JPG

Pedro Almodovar avant d'être le réalisateur espagnol le plus connu des français était un joyeux drille qui se produisait en concert avec un acolyte du nom de Mac Namara dans des sets totalement provocants et dejantés, en bas résilles et avec un maquillage à côté duquel Robert Smith ressemblerait à une none. Rossy de Palma une des actrices fétiches de Pedro à aussi fait ses débuts dans un groupe totalement improbable du nom de « Peor impossible » (littéralement, pire ce n'est pas possible).

almodovar

Bref la Movida c'était surtout on se lâche et on fait la fête en brisant les tabous (sexe, drogue, religion, alcool...) parfois de façon très outrancière mais avec quand même une certaine créativité rafraichissante.

 

Pour illustrer dans l'odre :

- interview en français de Rossy de Palma sur la Movida (extrait Arte) cliquez sur le lien

- Prestation scénique et musicale d'Almodovar comme vous ne l'avez jamais vu

- Alaska et son morceau Bailando (ma chanson espagnole préférée !)

- Mecano a ses début Hoy no me puedo levantar (Aujourd'hui je ne peux pas me lever, compte-rendu d'une gueule de bois après soirée trop arrosée)

- bande annonce du film de 1980  tres inpolitiquement incorrect Pepi, Luci, Bom y otras chicas del montón

- Paralisis Permanente un groupe dans un trip très punk et provocateur

 


 

 


 

 


 

 


 

 


 
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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 23:58

Retrouver la musique que j'aime sur ma chaine youtube et sur mes playlist deezer

et suivez l'actualité sur mon compte twitter

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 19:38

 

Voici un petit compte rendu de lecture dans le cadre du DEFI STEAMPUNK

  machine diffrence

« La machine à différences» de William Gibson et Bruce Sterling fait partie des ouvrages fondateurs du style steampunk. Il est écrit en 1990 aprés « les voies d’Anubis » de Tim Power , « morlock night » de K W Jeter et « Homonculous » de J Blaylock.. J’avais lu le premier il y à quelques temps de cela avant que je ne devienne fan de ce genre, de mémoire et au feeling je n’aurai pas dit qu’il s’agissait d’une des œuvres fondatrices du genre. On y retrouve, en effet l’un des composants principaux du genre, des aventures londoniennes dans un 19° siècle, mais j’aurai plutôt dit qu’il s’agissait de fantastique victorien délirant. Enfin quoi qu’il en soit je ne vais pas remettre en cause la mythologie officielle du mythe en chipotant sur le rattachement d’un roman a un sous genre littéraire ou à un autre. D’ailleurs je dois plutot écrire ici à propos ici de la dite « machine à différences ». Concernant cet ouvrage, aucun doute n’est permis, c’est la quintessence du steampunk dans tout ce que cela sous entends dans sa définition originale et on y trouvera l’ensemble des éléments qui caractérisent le genre.

steampunk city

Le récit se déroule dans une Angleterre du 19° siècle uchronique, la science et l’histoire du début de ce 19° siècle n’ont pas évolué comme dans notre ligne historique. Lord Byron, à pris le pouvoir au lendemain d’une simili-guerre civile ou révolution, mettant en place un gouvernement non pas basé sur la traditionnelle aristocratie terrienne typiquement anglaise, mais sur une nouvelle classe dominante d’industriels et de savants. Le plaisir de la lecture est donc doublé pour ceux qui sauront apprécier les subtilités ludiques de cette uchronie et pour qui les dénommés Byron (ci dessous), Wellington, Disraeli, Théophile Gautier entre autre, que l’on retrouve dans cette histoire alternative dans des rôles différents, ne sont pas des inconnus. On y retrouve aussi à mon sens une forte influence de ce que fut l’insurrection populaire de la commune de Paris, mais transposée avec une grosse touche de marxisme dans le Manhattan d’une Amérique aux états-pas-unis d'Amérique . Ce roman aurai donc trouvé une place de premier choix dans un défi uchronique.

Lord Byron

Pour ce qui est du steampunk nous avons les deux composantes de base, tout d’abord le STEAM, la technologie. Comme il doit être indiqué dans les divers résumé ayant trait à ce livre, l’ancêtre de l’ordinateur, une complexe machine à calculer inventée par Charles Babbage (illustrée ci dessous), a laquelle fait référence le titre, à vraiment permis dans cette Histoire alternative des progrès scientifique et industriels beaucoup plus avancé que dans notre ligne historique. Cela étant tout tourne encore principalement autour de la vapeur et donc du charbon, du métal et du bois dans des fabrications souvent massives. Tout au long du récit la description d’objets et de lieux emblématiques de ce qu'est le steampunk comblera les amateurs du genre : ordinateurs géants aux nombreux rouages avec cartes perforées, courses de voitures à vapeur, armes à répétitions, goggles etc.…

machine a différence

L’autre composante c’est le PUNK.C'est dans ce cas une société ou l’être humain se retrouve prisonnier d’un environnement technologiquement étouffant où les machines servent mais conditionnent aussi la vie des gens, (pas le style musical popularisé par les sex pistols). Cet aspect est très présent dans la description d’un Londres ultra pollué, avec le paroxysme de la période dite de la grande puanteur ou les miasmes et déchets rejetés par les différentes industries de la ville, chaleur aidante envahissent totalement l’espace urbain transformant Londres en un enfer. C’est également le moment propice pour l’anarchie et la révolution contre un état qui asservi le peuple et contrôle l’information à la manière d’un big brother.

1561 Waterloo Bridge Grey Weather

L’intrigue nous est présentée sur différents chapitre à travers différents personnages assez emblématiques et stéréotypés en voici trois. L’aventurière, au sens ou ce terme pouvait s’entendre dans un contexte victorien, une femme qui essaie de s’en sortir sans avoir de mari ou de père pour la protéger ! Les moyens qu’elle emploi sont ceux d’une femme qui pour l’époque ne doit pas avoir froids aux yeux et donner de sa personne. L’aventurier lui est un stéréotype de celui du 19° paléontologue, baroudeur, prêt à risquer sa vie pour une dame, scientifique sachant user ses poings, une carabine et son cerveau, rien que ça. Une espèce d’Indiana Jones mais avec les préjugés d’un homme de l’époque Victorienne. L’agent secret, au service de sa majesté, mais plutôt l’homme de l’ombre pas celui qui s’entoure de jolies filles et flingue à tout va en échappant à la mort de façon totalement bondesque. Le récit n’est donc pas linéaire et un même événement nous est présenté sous des angles différents et selon l’approche de différents personnages. Mieux vaux en être prévenu car pour ma part je n’avais pas tout de suite compris pourquoi on lâchait une intrigue et un personnage pour passer à ce qui me semblait être totalement autre chose. Cet artifice étant compris j’ai du relire la première partie pour retrouver les éléments du puzzle.

SteamPunk Characters by illgnosis

A part le steampunk et l’uchronie qui sont le contexte et l’environnement comment caractériser l’intrigue, hé bien une pincée d’aventure avec bagarres et scènes d’actions, de l’espionnage, du thriller politique, de l’humour sous-jacent et un chouillat de sexe (une scené très crue et anatomiquement descriptive), et ouf pas de romance !

En résumé un roman complet parfait pour la découverte du genre, à lire obligatoirement pour les passionnés du steampunk et pour les amateurs d’uchronie (mes deux passions littéraires). Pour ceux qui ne connaissent ni l’un ni l’autre et qui n’ont jamais éprouvé d’intérêt pour l’histoire du 19° siècle, il sera peut être un peu trop difficile d’y accrocher, et se demanderont dans quel délire ils sont tombés.

Pour ce qui me concerne, le point négatif du livre reste sa fin qui m’a laissé plus que perplexe, comme si les auteurs nous avaient donné plusieurs pièces d’un puzzle incomplet. L’intrigue était bien portée, mais la fin au delà d’une espèce de métaphore philosophique qui pourrait servir de prequelle à matrix m’a déçu.

steampunk-things.jpg

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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 17:27

gf-front.jpg

 

 

Voici un petit clip rafraichissant et gai qui mettra un peu de gaité et de joie (hapiness) sur vos écran et dans vos oreilles. Cette chanson est interprétée par Goldfrapp groupe composé de Will Gregory et Alison Goldfrapp, elle est extraite de leur 4° album seventh tree sorti en 2008. Un de mes groupes préférés des années 2000.

 

Admirez la performance du sautillant acteur !

 

 

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 20:25

  shield-1-marvel-comics

SHIELD mini série de Jonathan Hickman (scénar) et Dustin Weaver (dessin) chez panini comics

Apres le délire Franckencastel qui transforma le punisher en espèce de Monstre de Frankenstein, Marvel, transforme Leonard de Vinci en super héros ! C’est dans la mini série SHIELD qui nous fait découvrir les origines de cet organisme bien connu des marvelophiles, que l’on retrouve le célèbre génie de la renaissance sous un jour que même Dan Brown n’a osé imaginer. Cette mini-série nous fait découvrir un SHIELD dont la genèse remonte à l’Egypte ancienne et qui à pour vocation d’éviter la fin de l’humanité à chaque fois qu’un énooooorme danger la menace, invasion brood, galactus, celestes etc…. L’histoire est assez étonnante pour un récit Marvel car hors les pères de Tony Stark et Red Richards (en espèce de men in black), on y retrouve comme héros principaux, non pas nick Fury and co, mais  un grand nombre de personnages historiques en plus de l’ami Leonard, Zhang Heng(  un evesrion chinoise de notre leonard), Galilée, Nostradamus, Isaac newton, Tesla, Michel ange et le Vatican. Une partie de l’histoire à lieu dans une Rome, ville éternelle, mais pas uniquement au sens figuré, dans les années 60.

shield how the world ends

 

L’histoire en elle-même est plus proche des délires Alan mooresque que de ce que Marvel à l’habitude de produire, puisqu’on y retrouve concepts ésotériques, réflexions philosophique et métaphysique sur l’humanité, avec la thèse et l’antithèse (excellent pour le bac philo) qui en vienne aux mains. J’ai été séduit par les graphismes, et l’originalité du sujet, par contre il est clair qu’au niveau de ce que l’on appelle la continuité de l’univers Marvel, c’est assez déroutant et difficile lorsqu’on est un ancien fan de caser ce récit. Et là ou Alan Moore va jusqu’au bout du bout du délire ésotérique à la sauce super héros, dans une œuvre comme Prométhéa, SHIELD reste tout de même très sage.

 

SHIELD-VARIANT

Lorsqu’on lit du Marvel on est censé penser plausible, l’existence d’être douées des super pouvoirs, de Dieux des différentes mythologies, de milliers de races extraterrestres, de continum espace temps différents etc, mais il y à dans SHIELD encore un cran de plus dans l’astonishing !! Pour moi qui suit fan de steampunk j’ai été amusé par le look rétrofuturiste des inventions de Leonardo ou Galilée, que je qualifierai de rinascimento-punkus. On peut d’ailleurs voir le char de Leonard, sa célèbre création en forme de semi cône en action lors du combat final. On a aussi droit à un peu de Diesel punk avec le véhicule année 60 des agents Stark et richards. Au final une agréable histoire un peu fofolle et très belle graphiquement.

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ISAAC NEWTON

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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 19:50

ana-torroja.jpg

 

sonrisa-torroja.jpgDe retour de vacances d'Espagne je reviens avec mes bagages audios une petite chanson que j'ai entendu sur les radios entre les incontournables black eyed peas, Britney spears, LMFAO and co. Il s'agit de "Tu habitacion helada" (ta chambre glacée) de Ana Torroja. Cette chanteuse est un peu connu en France puisqu'elle faisait parti du groupe Mecano, qui a connu un petit succès dans notre pays avec "une femme avec une femme" et "hijo de la luna". Le groupe Mecano est hyper populaire en Espagne et a  sorti 6 albums entre 1981 et 1992. Ana Torroja débute sa carrière solo en 1997 et a sorti 7 albums jusqu'en 2010 (dont un en français). "Tu habitacion helada" est extrait de son dernier album, Sonrisa,  c'est une chanson légère, pas le tube interplanétaire  mais une chanson très agréable à écouter surtout grâce à la voix suave d'Ana. Dans la foulée je vous invite à découvrir "a contatiempo" et "como suenan las sirenas"  issus de son 1° album de 1997 "puntos cardinales" (mon préféré).

 

 


 

 

 


 

 

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21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 22:51

Et oui les vacances sont bel et bien terminées....

Avant de partir j'avais posté un article sur quelques chansons vacanciéres, et sur la route  je met un cd de wham et pan je tombe sur club tropicana, l'hymne des vacances insouciantes, futiles, légeres, que j'avais oublié de poste. Afin de réparer cet oubli impardonable voici georges michael et andrew rigdeley du groupe avec le nom le plus cool au monde : Wham !

 


 
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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 23:10

 

Le webzine Autres mondes m'avait déjà fait l'honneur de publier mon article sur le Dieselpunk dans son N° 6, c'est cette fois mon article "du steampunk dans les bienveillantes" qui est publié dans le N° 7. Merci à eux pour leur intérêt. On retrouve dans ce webzine de la communauté autres mondes, des créations graphiques, des petits essais et des articles publiés par d'autres membres de la dite communauté, c'est trés intéressants pour ceux qui s'interessent au fantastique, à la sf et à tous les genres de l'imaginaire.

Alors bonnes découvertes, en cliquant ICI

Je vous invite aussi à découvrir le blog de l'ame et esprit  du webzine qui je cite " présente une vision du comment aborder le monde de la science fiction, fantasy, .."

une-printemps-2011.jpg

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13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 19:53

Shamrock.jpg

 

Après avoir consacré un petit  article à la pop suédoise, voici un petit best of des artistes et chansons irlandaises que j'aime bien.

 

- Incontournables les U2, sans doute les irlandais les plus populaires au monde. Je leur ai déjà dédié quelques articles dont un ou BONO chante en duo avec la chanteuse de CLANNAD, autre groupe folk irlandais. NEW YEARS DAY reste à ce jour une de me chansons favorite de tous les temps

 

 

- Mon irlandaise préférée ENYA à la voix et aux chansons envoûtantes. Ici MAY IT BE extrait dans la bande original de la communauté de l'anneau

 

 

- Les CRANBERRIES qui ont sauvé les 90's de la mornitude musicale

 

 

 

- THE POGUES,  en fait un groupe Londonien d'immigrés irlandais qui chante du folk punk irlandais,et dont le chanteur SHANE MAC GOWAN est aussi connu comme l'homme qui n'aimai pas les dentistes ou qui ferait passé Gainsbarre pour un mmbre de la ligue de tempérance. J'aurai pu mettre la chanson DIRTY OLD TOWN, ma préférée, mais le clip de la FIESTA est trop délirant. Quand deux peuples qui aiment bien les fêtes arrosées se rencontrent ça donne autre chose que le grand cabaret de Sebastien !

 

 


 

 

 

Ensuite une petite série de chansons d'irish bands and artists dont je ne connais ou n'aime pas toutes l'oeuvre mais que j'aime beaucoup

 

- THE BOOMTOWN RATS, I DON'T LIKE MONDAYS, groupe punk-pop qui obtint avec cette chason un n° 1 dans les charts en 1979. Elle fait référence à un fait divers survenu au USA ou une jeune fille de 16 ans tira sur une école élémentaire faisant 2 morts et plusieurs bléssés. A la question?  pourquoi a tu fais ça ? elle répondi "I just did it for the fun of it. I don't like Mondays. This livens up the day" ce qui veut dire "je l'ai juste fait pour le fun, je n'aime pas les lundi, ça égaye la journée" !!!! Le leader du groupe? BOB GELDOF est aussi l'initiateur avec MIDGE URE d'ULTRAVOX du BAND AID, grand mouvement des eighties qui réunissait des artistes pour récolter des fonds contre la faim en Ethiopie. Il fut aussi l'interprète principal du film THE WALL d'ALAN PARKER

 

 


 

 

 

- GAVIN FRIDAY, ANGELl, sortie en 1985 pour le film ROMEO ET JULIETTE avec DI CAPRIO. Cet auteur compositeur interprète  est l'ancien leader des VIRGIN PRUNES groupe culte punk-rock gothic des années 70 80 aux prestations théâtrales et outrancières   

 

 


 

 

- SINEAD O CONNOR, NOTHING COMPARES 2 U,  chanson écrite en 1990 par PRINCE qui eu un énorme succées dans le monde. Cette artiste qui semble avoir un  sacré caractère est l'une des rares  également reconnaissable grâce à sa coupe de cheveux, à la mode YUL BRUNNER !

 

 


 

- CRY BEFORE DAWN,  GONE FOREVER, groupe de pop rock ayant sorti deux album fin des années 80

 

 


 
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